Aimer son prochain
Comme soi-même
1/19/20255 min read


Aime ton prochain...
J’ai commencé à écrire ce matin sur ça, ce verset, parce que je cherchais un mot.
Un mot qui m’était soufflé en haut, puis dans le creux du cœur, pas le cœur humain. C’est justement mon côté humain qui m’empêche de toucher ce que j’ai sur le bout de la langue.
Alors on me dit d’écrire, pour en arriver à passer par-dessus la densité.
Je cherchais un mot, et ils m’ont fait me promener dans des profondeurs.
Aime ton prochain comme toi-même.
Aimer...Pas de manière humaine, avec la sphère émotionnelle subjective, non. La vrai émotion Divine, l’émotion objective, Haut’bjective.
Aimer chacun de ses frères et sœurs, dans le cœur, pas pour faire semblant. Dieu sait si vous faites semblant. Mais aimer comme notre père nous aime, comme Dieu aime chacun de ses enfants, parce qu’ils sont tous la prunelle de ses yeux. Parce que chaque courant de vie, chaque création Divine est la manifestation de son amour et donne la perfection incarnée.
J’aime les créations de Dieu, mais je n’en suis pas encore à aimer profondément, vibratoirement chaque frère et sœur. Je n’arrive même pas à trouver/entendre le mot que je cherche.
Il rassemble, fusionne plusieurs mots : Compassion, fraternité, amour bien sûr, miséricorde, bienveillance, protection, aide... Comme ce regard qu’une mère porte à son enfant qu’elle aime par-dessus tout. Dieu nous regarde tous ainsi.
Et je sais que lorsque je serais à sentir une paillette de cet amour Divin, juste une toute petite vibration de cet amour, envers chacune des créations de Dieu, alors, mon coeur va s’ouvrir, et vibrer tellement fort, tellement haut, que l’intégralité de ce que je suis va aimer l’intégralité de la création de mon Père, de notre père à tous.
Il y une montagne/un monde entre le savoir, la connaissance de cela, et la vibration du son de l’amour Divin. On a un tout petit aperçu de l’amour humain terrestre. Lorsqu’on aime une autre personne, le tout début, sans rien vouloir, on sait, on sait qu’on aime l’autre personne.
Alors c’est cela qui nous est demandé. D’aimer son prochain comme soi-même. Mais pas le soi-même de la personnalité, non, comme soi-même le Divin.
Quel est ce mot humain de ma langue qui parle de ce grand amour qui rassemble Dieu lui-même?
Je parle de cela parce qu’on m’aide à ouvrir des perceptions qui m’étaient indifférentes jusqu’à présent. Parfois, j’ai tellement mal au dedans en regardant ce que ma race, l’Homme, peut faire à son prochain, c’est tellement difficile cette douleur.
Et avec le temps, l’apprentissage qu’on m’a transmis, je sais maintenant que c’est le parcours que l’Humain à décidé d’emprunter, pour apprendre dans et par la chair ce qu’il n’arrivait pas à comprendre. Nous sommes, par les lois cosmiques, obligés d’apprendre par l’expérience en plus de la théorie. C'est-à-dire que nous devons apprendre en vivant l’expérience afin de la comprendre, et de la retenir, l'intégrer dans le noyau de ce que nous sommes. Puis même parfois, nous faisons nos bêtises 1,2, ou 3... 45 fois. Jusqu'à ce qu’on se propose un autre chemin, une autre voie, parce qu’on ne veut plus souffrir. C’est là qu’on ouvre une porte, celle qui mène tout droit au dedans de notre vérité.
L’amour c’est pareil. Le mot que je cherche, qu’on me fait chercher depuis plusieurs heures, que je sens être sur le bout de ma langue mais qui passe par tellement de chemins neuronaux, qu’il n’arrive même pas à ma conscience humaine. Tellement je l’ai enfouie loin loin loin, il s’est perdue dans les méandres de la densité.
Aimer chaque être, peu importe ce qu’il dit/fait/est, c’est une création divine. Pas son reflet, pas sa personnalité... Son cœur, ce flux divin qui coule en lui. Et toi qui est ici, qui lit, ou qui entend ce qui est dit maintenant, tu es la création de Dieu, et je dois t’aimer dans ton intégralité. Je dois TE VOIR, voir en toi cette étincelle parfaite Divine, cette lumière précieuse. Peu importe si elle est vive ou très faible, elle coule en toi, tant que tu respires devant moi.
Et je dois être cet amour que j’ai pour Dieu, je dois le sentir au dedans de moi pour toi. Et là alors, mon coeur va se dilater.
L’amour est la clé de l’ouverture divine. Mon cœur Divin va s'ouvrir par cette étincelle que j’aurai sentie, et l’intégralité de ce que je suis va se dilater et devenir l’Un.
Cet amour infinie.
Alors quel est ce mot que vous cherchez à me faire prononcer par la voix?
Miséricorde,
Bienveillance,
Inconditionnel,
Fraternité,
Aide ton prochain,
Je reviendrai le dire dès que j’aurai retiré les écrans de densités qui m’empêchent là maintenant, de prononcer ce mot.
Une fois qu’il reviendra à moi, à ma conscience, alors, je devrais me pencher vers son application. Pas avec ma personnalité, mais avec mon coeur.
Je n’ai que faire de dire que je vous aime, à vous, je parle de coeur à coeur, de conscience à conscience, de courant de vie à courant de vie Divin.
C’est ce vers quoi nous devons tendre. Mais encore faut-il que nous nous rappelions le mot qui ouvre cette porte?
À partir du moment, au cours de l’évolution, où l’homme nouveau aura intégré l’énergie de l’intelligence et de la volonté créative, il connaîtra l’amour, dans le sens universel du terme, amour libre de la partie inférieure de son mental, et la trinité de la conscience sera réalisée. L’homme nouveau aura désormais accès aux clefs de la vie enfouies dans sa conscience universelle.
Bernard de Montréal - La Genèse du réel.
Pendant l’involution, la vérité fut utilisée par les forces astrales pour polluer l’esprit humain et le maintenir dans l’esclavage. Sans volonté créative, l’homme n’eut pas accès à l’intelligence créative, et l’amour réel fut impossible, cet amour annoncé par un des plus grands êtres connus de l’histoire : le Nazaréen. Ce n’est qu’au cours de l’évolution que l’homme comprendra parfaitement ce principe universel de vie, à partir du moment où il aura été libéré du besoin psychologique de posséder la vérité.
Bernard de Montréal - La Genèse du réel.
Voilà pourquoi l’homme nouveau devra reconnaître les principes de l’intelligence et de la volonté, reliés à celui de l’amour réel, s’il veut se suffire de cette nouvelle conscience qui renversera la polarité en lui.
Bernard de Montréal - La Genèse du réel.
Le mot trinitaire fait ici allusion à la composante cosmique de toute forme d’intelligence : il représente l’Amour, l’Intelligence et la Volonté, ce que les anciens avaient interprété dans leur spiritualité comme le Père, le Fils et l’Esprit.
Bernard de Montréal - La Genèse du réel.
L’aspect le plus décisif du développement de la conscience supramentale sur terre sera relié à l’habileté que développera l’homme de déjouer les sphères. Cette habileté dépendra de son intelligence et du pouvoir de sa volonté créative. L’amour naîtra de cette évolution de conscience, car l’homme ne peut aimer créativement et cosmiquement tant qu’il n’a pas pris conscience intelligente de sa réalité et appliqué la totalité de cette intelligence contre le mensonge cosmique des sphères.
Bernard de Montréal - La Genèse du réel.
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