Le détachement

Le début d'une clé de Sagesse

10/9/20245 min read

Le détachement - Le lâcher prise

Accepter que chaque être humain est un courant de vie Divin, qui a son propre parcours.

C’est une individualisation Divine, qui a son chemin Divin à faire dans la matière, et qu’on ne doit, à aucun moment, juger, ni intervenir dans ce parcours.

Parce que l'Univers est tout.

Parce que chacun doit être. Chacun doit trouver le chemin en lui, qui le ramènera au centre de tout.

La réincarnation.

Nous avons tous en effet certains bagages à solder. Et en déposant, vidant, purifiant ces bagages, nous devenons plus pur, plus léger. (je fais souvent référence à la physique, tout simplement parce que j'ai cette affinité dans cette vie, vous pouvez adapter avec d'autres notions qui sont plus proches de vos propres affinités)

Cette légèreté nous rapproche toujours plus de notre Source.

Alors nous ne pouvons penser à la place d’autrui, nous ne pouvons juger autrui.

Chacun à son parcours à faire ici. Et je ne peux, personne ici ne peut juger, choisir pour autrui ce qui est le mieux pour lui.

J’aime dire cela

J’aime l’écrire

C’est baigné de sagesse. Cela nous dépose, dépose la personnalité

Ce jugement est quelque chose de lourd à porter. C’est dense, c’est un costume de plus. Et cela fait beaucoup de bien de le laisser au vestiaire.

Tu comprends ou on t’amène ?

Pas encore totalement, mais je vois des choses que je ne voyais pas hier encore. Je vois la lourdeur du jugement. Je vois la pesanteur de ce que c’est réellement. Je vois que cela assombrit le costume véritable, et rajoute encore une couche à ce qu’on doit lâcher pour exister réellement.

Je comprends. Je le ressens, je le vois ce matin. Ce qu’est le jugement. Et je vois aussi quelle douceur m’enveloppe lorsque l’on s’en détache.

On doit se détacher de beaucoup de chose pour ressentir de nouveau la pureté du corps véritable, de l’être véritable. Et encore, je sais qu’on le frôle seulement, on ne l'a pas encore totalement invité dans toutes les parcelles de notre corps.

Il n’a pas encore repris possession de tout ce que nous sommes réellement.

Le pouvons nous?

OUI

Ce jugement est très lourd, comme des valises en métal.

Chaque fois que l’on juge une autre personne, nous prenons un copeau de cette valise de métal, et nous la fondons sur nous. Alors c’est nous qui devenons lourd lourd lourd. Et il nous faudra beaucoup de travail pour faire fondre ce métal qui est maintenant sur nous, et nous en dépouiller. Cela sera même parfois très douloureux parce qu’on ne se rappelle plus qu’il est fondu sur notre peau, et qu’il nous faudra laisser la peau brûler, fondre, pour s’en détacher. Et de nouveau, la peau belle et neuve pourra se former, mais encore une fois, par des douleurs physiques fortes.

Cette armure fait du bruit, elle prend de la place.

Le détachement.

C’est exactement cela. Un seul mot, pourtant tellement puissant qu'il entre en nous.

Nous ne sommes pas le cercle. Nous sommes le centre. Et les personnalités sont le cercle.

Pour se remettre au centre, nous avons parfois beaucoup de tour à faire, de chemin. Chacun à un nombre à accomplir, et on ne peut pas juger cela. Cela ne regarde que l’âme qui incarne cette individualité.

Petite leçon étymologique ?

Le mot "partage" vient du verbe "partager", qui a ses racines dans le latin "partire", signifiant "diviser" ou "séparer en parties". En français, le terme "partage" a évolué pour désigner l'action de répartir quelque chose entre plusieurs personnes ou entités, mais aussi le résultat de cette action.

Dans le contexte étymologique, le préfixe "par-" est dérivé du latin "per-", signifiant "à travers", tandis que "tage" (venant de "part") désigne une portion ou une partie. Ainsi, "partage" s'inscrit dans l'idée de créer des parts accessibles à chacun.

L'évolution de ce terme souligne l'importance sociale et communautaire de l'action de partager, qui est essentielle dans les relations humaines et la vie en société.

Le jugement n’a pas lieu d’exister ici, entre nous. Il rajoute seulement toujours plus d’épaisseur à cette peau que nous devons pourtant peler pour être La Vérité.

Nous mettons des couches entre des êtres, alors que nous devons au contraire retirer les vêtements pour approcher la lumière.

J’éduque mon personnage, j’élève mon personnage afin qu’il lâche tout, et qu’il épouse, accueille la vérité, la pureté. Qu’il laisse la place, la barre, le gouvernail, parce que la pureté de l'Univers (Unis-vers) sait exactement ce que nous sommes venus faire à chaque instant.

Et en arpentant ces chemins, nous nous dépouillions, oui, mais nous accomplissons quelque chose d’encore plus grand, plus puissant, nous accomplissons la volonté parfaite, en nous, et partout autour de nous.

Ce détachement est très très précieux, c’est un cadeau inestimable.

Cela accorde une paix incroyable, une clarté précieuse, d’or.

Lorsqu'on se détache de cela, nous nous protégeons aussi d’autrui, de l’astral d’autrui.

Dans le sens ou parfois, ce que nous ressentons, ne nous appartient pas. Parce que nous ne savons pas encore comment définir, identifier, et nous protéger de ce qui n’est pas à nous ici, sur terre. Alors les émotions d’autrui se mélangent et peuvent envahir notre champs vibratoire.

Veiller, et prier disait Jésus.

Veiller, c'est cela aussi. Le détachement divin est un bouclier pur, parfait, et parfaitement puissant et infranchissable.

Est-ce ma colère? Non. C’est le personnage qui sent la colère. Parfois celle de l'autre personne, parfois la mienne. Mais la sienne reflète en moi, et forme une plus grosse colère.

Alors qu’avec le détachement dont nous parlons, ça n’est plus le cas. Ça n’est plus possible, plus permis, parce que cette coque divine qui se forme autour de toi avec le détachement, est la puissance même de la Source.

Au lieu que le métal du jugement se fonde sur toi, il se transforme en un bouclier, le plus puissant qui soit. Le jugement d’autrui vient alors renforcer ce bouclier, et tes vibrations, ton Toi véritable, n’est plus envenimé par ce qui t’entoure. Et à ce moment tu restes dans la pureté divine, et tu peux rester l’objet de la volonté divine. Faire la lumière sur terre.

Peu importe si l’autre la reçoit ou non, tu divinises l’éther, tu nourris de Lumière Divine le champs vibratoire autour de toi.

Chaque détachement agrandit ton bouclier. Tu agrandies aussi la zone de divinisation de l’éther qui t’entoure.

Tu ne peux pas nourrir autrui. Cela aussi s’apparente à Karpman (le triangle, étudie cela, c'est important et passionnant), cela aussi est une volonté d’obliger autrui, alors c’est l’astral, c’est le personnage qui veut faire plier un autre personnage pour qu’il gobe, avale ce que tu as décidé qu’il devait être.

Ça n’est pas la vérité. Tu comprends ?

Tu dois illuminer le champs quantique, vibratoire, autour de toi. Mais à aucun moment, en aucun cas, tu dois décider de nourrir une personne de ton choix. C’est aussi l’astral, c’est aussi de la manipulation, c’est aussi une volonté individuelle, donc ça n’est pas la Source.

La seule chose dont tu dois te soucier, sur laquelle tu dois être attentive, c’est ton propre détachement.

N’oublie pas, l’armure qui fond sur toi, peut devenir le bouclier céleste, divin, qui t’entoure, te protège, et te rend la puissance de ta vibration divine.

C’est aussi une antenne de communication.

Le détachement devient le bouclier Divin parfait, puissant, et lumineux. Le Détachement est une clé très très puissante.

Sans ce jugement, alors, le détachement prend forme à l’extérieur de toi, et ainsi, empêche le métal lourd et froid du jugement d’entrer dans ta peau.