L'Harmonisation du Cycle cosmique

Entrer dans la Symphonie des Cycles

3/1/202511 min read

Hier je me suis endormie avec en tête qu’il est temps de tout simplifier, d’arrêter de prendre des raccourcis qui en fait, nous rallonge véritablement.

La simplicité à été complexifié, et nous fait perdre beaucoup d’énergie, de moyens, de conscience, et de compréhension.

Et peu importe ce que le monde des hommes autour de soi peut être et penser, cela n’empêche aucunement chacun à reprendre le centre de création qu’il est, à reprendre son rôle de porter la création de l‘Intelligence Suprême.

Il est temps d’accueillir le Saint Esprit.

On sent actuellement sa puissance, sinon, je ne penserais pas de cette manière. On sent la volonté profonde de la réception, de l’accomplissement du Moi Supérieur dans le Moi inférieur. On sent l’attraction du haut potentiel, dans la petite forme, le microcosme du corps. Du Haut vers le Bas, et que le Bas résonne, reflète, le Haut.

Alors, accueillons cela grandement, les bras ouverts, la conscience éthérique ouverte, afin de rendre l’intelligence de ce que nous sommes, au Père qui accomplie sur terre, dans le présent.

Pourquoi je parle de ça?

Les dernières expériences que j’ai eu cette semaine avec d’autres personnes m’ont amené à voir les bifurcations importantes par lesquelles nous passons.

Pourtant, tout peut-être grandement et profondément simplifié.

À l’intérieure de soi, chaque question à une réponse que nous devons apprendre à recevoir de manière totalement complète, et à ne pas remettre sur le billot du mental humain avec les sempiternelles questions “pourquoi, comment, que dois je faire de cela, et si...”

Chaque expérience, question, a déjà sa réponse totale et complète en nous.

Dois je aller voir cette personne? NON

Ok, la réponse est hyper clair.

Alors on écoute, et on suit cette guidance puissante, et totale, complète en nous. On ne perd plus de temps avec ce qui peut se greffer dans le cerveau. C’est non. Donc le temps de voir cette personne n’est pas venu, n’est pas le bon, pas dans ce présent.

La dame qui me parle d'un poste qu’elle me propose : NON

Rapide efficace.

Je n’ai pas d’intention à porter sur une chose qui ne doit pas porter mon attention, parce que cette chose ne doit pas entrer en moi, ne doit pas se manifester au travers moi, c’est la perte du présent si je fais cela, je prends une bifurcation.

Et avec les dernières 5 années, je vois comme elles peuvent être rallongeantes, s, elles font perdre le Nord.

Oui on apprend, et c’est très bien, je ne le saurai pas aujourd’hui si je n’avais pas vécu cela, et ma Foi en mon Moi Supérieur qui ordonne et guide ne serait pas si puissante si je n’avais pas vécu cela.

Mais hier, en m’endormant, j’en ai eu marre des bifurcations, elles me lassent, parce que je sais que Dieu n’est pas la bifurcation. C’est l’homme qui, par la simple pensée qu’il est lui même créateur égotique/individuel,  créé des rallongements sans fin. Et donc la perdition.

Dieu n’est pas oui ou non, il Est.

Mon Moi Supérieur sait exactement de quoi je parle. Et je sens dans ces réflexions que lui, aligne, envoi de l’énergie solaire dans mon centre mental. Et aussi dans le reste du corps, parce que je sens physiquement et viscéralement ce besoin de faire dans l’alignement puissant de Dieu. Je ne veux plus de bifurcation.

Une question, une réponse.

Simple, efficace. Pas de perte d’énergie, de feu, de temps, pas de perte d’espace en moi.

Chaque espace redevient vierge, sans occupation terrestre, afin d’être le réceptacle du Moi Supérieur, qui guide l’avancement dans chaque moment présent.

À l’image du soleil, de la nature. Aucune question, chaque création divine suit le cycle divin, et rayonne la puissance de sa complétude et de sa perfection.

Remettre de la simplicité dans ce que nous sommes.

Je veux simplifier le monde d’en bas, pour recevoir la grandeur du monde d’en haut. Si je suis dans la complexité, je ne peux pas recevoir la grandeur du monde d’en haut. Il n’y a pas de place, pas d’espace de conscience.

Puis-je rendre simple le monde d’en bas ?

Oui

Comme tu le fais. On fait le ménage. Et on voit, on comprend.

Dans ces moments là, je sens la puissance de la Volonté. Elle est forte, solaire, grande, totale, lourde, puissante. Elle ne tend pas à la remise en question, on ne remet pas en question ce qui ne peut pas l’être, parce que c’est déjà total, complet, parfait. On ne peut pas remettre en cause ce qui est déjà parfait.

Et cela ne réveille plus l’égo petit/bas humain. Il a déjà travaillé au détachement et au discernement.

J’aime le discernement comme outil divin d’interaction avec le monde extérieur.

J’aime l’alignement comme outil de connexion intérieure.

Je suis dans cet état de vibration parce que je me suis replongée de nouveau dans la manifestation divine.

Après plusieurs stades, et années d’études pour comprendre cela, à chaque fois que je m’y replonge en conscience, année après année, j’ai un stade de plus, une vision, une compréhension plus complète, profonde.

Merci.

Aujourd’hui nous voulons entrer en fusion avec ce monde, ce microcosme, avec le Moi Supérieur. Ce n’est pas le personnage qui va manifester, c’est le Moi Supérieur qui le fait, sous les yeux du personnage qui doit être acteur principale pour le Moi Supérieur.

Le personnage va avoir tous les rôles, mais n’est pas le scénariste. On ne lui demande pas son avis, il doit juste lire et interpréter le scripte, écrit de main du Maître en Soi.

Le Maître est le scénariste, le producteur et le réalisateur de la pièce. De toutes les scènes de la vie, de cette vie que l’on nous a confié.

Et cette vie vient interagir de plus en plus avec les autres personnages, sans écraser, empiéter, pousser. Non mais simplement en restant concentré sur son rôle, la pièce, le scénario.

Je ne suis que les mains qui tapent ce que me dicte plus Haut, la conscience.

Je ne suis pas l’intelligence qui donne les mots qui s’alignent, et en même temps je le suis.

L’égo ne l’est pas. Le JE l’est.

D’ou ma dépersonnalisation lorsque je lis, j’enregistre, j’écris. Cela ne m’appartient pas en tant qu’humaine. Cela m’est donné. Et je sais quand et comment je dois donner, parce que je ne personnifie pas ce qui est donné.

Ça n’est pas pour ma Gloire, c’est pour LA GLOIRE.

Ça n’est pas pour moi, c’est pour MOI.

Je ne suis que la rédactrice, l’écrivain, la voix.

Je ne suis pas l’Intelligence qui dicte. Je reçois l’Intelligence.

C’est très étrange à expliquer, et en même temps, lorsque cela est dit, on sent le petit personnage qui pousse des coudes. C’est en cela qu’il faut toujours être attentif à ce que l’on est dans le monde.

Le corps accueille la puissance de vie. Je me dois de garder ce corps accueillant pour la Vie elle-même. D’être responsable, consciente, totale, avec ce qu’on me donne en responsabilité.

C’est la mission de chaque instant. On me donne quelque chose, j’en deviens responsable pour un temps, un cycle, une évolution ou une transmutation. Mais je ne suis pas cette chose, cette mission. Je suis le réceptacle de la mission.

On me la donne. J’exécute en conscience ce qui m’est donné. Peu importe ce que c’est. Ma conscience doit être pleinement là ou je suis dans le corps, dans la matière, et dans le temps de l’homme, dans le sens géographique de l’homme.

Quand je fais le ménage, je suis dans le ménage, je suis consciente de rendre propre quelque chose. Je ne le fais pas par inadvertance, par inconséquence, je le fais avec et dans la conscience. Parce que c’est ou je dois être ici et maintenant. Je ne fais pas les choses avec mépris, bassesse, ou situation d’égo. Je le fais parce que dans le moment présent, c’est ma mission, ma responsabilité. Il n’y a pas de petite ou grande responsabilité. Il n’y en a que des missions.

Nous avons la grande responsabilité d’être totalement et pleinement présent dans le présent.

Lorsque nous le sommes, la somme de chaque petit accomplissement devient/entre dans le rythme du cosmos, dans l’énergie, l’harmonie du cosmos.

La nature ne se demande pas si nourrir la petite feuille de l’arbre est un acte plus ou moins important que de développer une nouvelle racine, ou un bourgeon. La nature sait que chaque acte dans la matière, chaque chose, rentre dans l’harmonie pleine et complète de l’entièreté de la réalisation. Elle n’a pas à réfléchir au but de fleurir pour offrir des fruits ensuite. Non elle est dans le présent de chaque instant. Elle est dans l’harmonie puissante du cosmos, et entre en résonance avec la grande symphonie des sphères.

Tous nos actes doivent être à cette image.

Chaque acte doit maintenant redevenir la conscience pleine et entière de notre Intelligence, de notre Présence. Nous ne devons être nulle part ailleurs que là où nous sommes. Dans ce sens, la peur n’existe pas, seul la paix réside en nous. Et c’est l’état parfait de l’Univers. La paix est une corde de l’instrument de la symphonie des Sphères.

Reprendre la présence du présent.

C’est une corde importe, une action importante. Reprendre le sens, le Nord des choses.

Chaque petite chose à la puissance de faire partie de l’accomplissement des grandes choses, de la totalité.

A aucun moment, la fourmi ne se demande si ce qu’elle fait est utile pour plus grand. Elle fait.

L’humain doit redevenir cet état aussi. Parce qu’il doit retrouver en lui l’harmonie de l’accomplissement, peu importe la taille de son action, peu importe la conséquence dans le présent. La conséquence sera bien plus grande lorsque chacun sera dans l’harmonie du présent.

On sent la Volonté puissante dans ces mots. Parce que c’est Solaire, le Feu, l’Action Céleste.

Pourtant, ça n’est pas grand chose, seulement des mots.

Mais c’est vibrant. Comme quand on fait les choses en étant les choses.

Alors, on rentre dans la sensation de l’endroit ou l’on doit être, de la chose que l’on doit faire.

On ressent la plénitude et la quiétude de ce que l’on fait. Ça apaise, nourrit à l’intérieur, ça harmonise. On redevient la joie, la paix, la quiétude. Parce qu’on est dans le présent. On est présent à ce que l’on fait.

Hier et ce matin, j’ai sentie la volonté de devoir refaire/revivre dans la simplicité. Vraiment. D’arrêter de nourrir des choses/des voies/des chemins qui ne sont que perditions pour notre présence au présent. Je veux re-rentrer dans la présence, la simplicité de la volonté Divine.

Je veux être l’artisan, l’ouvrier de ma propre présence, du Moi Supérieur, sans costume, sans fioriture, sans dire de mots inutiles, sans avoir la prétentions/l’intention de réécrire le monde, de créer une nouvelle chose. Je ne veux pas perdre l’énergie divine à faire des tergiversations de choses ou de conversations, de mots inutiles.

Je dis cela aussi pour mon ami, ou on me dit NON. Parce que nous avons eu une conversation qui a rouvert des centres en lui. Mais je ne dois pas être la source de cela, il doit ouvrir en lui sa propre source. Je ne suis que la voix, pour un temps très court, de sa propre source. Ça n’est pas moi qui a rallumé des lumières. C’est à lui de trouver son chemin dans la simplicité, sa volonté qui sera sa corde de vie, dans son faux semblant de perdition.

Apprendre à ne plus se nourrir de l’émotion subjective. Apprendre à se détacher de cette perdition humaine.

Philosophie du bas astral. La philosophie était un courant d’ouverture, de réouverture du cerveau, de la conscience. Il faut maintenant s’en détacher.

Ce courant de philo (c'est un exemple) a été très nourrissant dans son temps. L’homme a tendance à s’accrocher à des outils qui ne sont pourtant offerts que pour un temps. Et il traine l’outil pendant des décennies, alors que de nouveaux outils sont offerts à chaque étape de la progression. On ne doit pas trainer une fleur d’un printemps à l’autre, chaque printemps, la nature divine offre de nouvelles fleurs, juste pour un cycle, une saison, un fruit.

Nous devons apprendre à observer la vérité, et elle est sous nos yeux. L’être humain et l’Univers fonctionne à cette image.

À chaque cycle que nous vivons, nous avons progressé grâce aux fruits qui nous ont été offert, outils donnés, à chaque printemps. Mais bien que nous pouvons congeler certaines choses, ça n’est pas pour tous les temps. C’est pour une saison. Ensuite, nous devons accepter de laisser la place aux nouveaux outils. Avoir la foi aussi que nous serons nourris et que des outils nous seront offerts, tout neuf, adaptés à notre évolution durant l’année écoulée, et que c’est sur ceux là que nous devons nous pencher. Pas sur les vieux.

Je dis cela, parce que mon ami se penche grandement à faire des nœuds. C’est un formidable centre d’observation pour moi.

Je comprends, je vois une certaine globalité dans l’humain, dans son fonctionnement. Je vois aussi qu’il n’a pas appris à se nourrir d’après ces centres internes, qui sont pourtant adaptés, hautement perfectionnés, et surtout dans le temps présent. Mais il n’a pas appris à écouter l’intérieur plutôt que l’extérieur. Il n’a pas appris à ne pas écouter l’astralisation de son mental. C’est de cela qu’il faut se détacher, parce que ça n’est pas la vérité.

La Vérité.

Je ne peux pas non plus en faire un livre. Parce que le temps que le livre sorte en production dans les librairies physiques, les instruments qu’on me demande de donner, d’écrire, seront dans un temps au delà, ça sera déjà dans l’après.

Et pourtant, nous sommes dans une période ou le présent va bien plus vite qu’avant. Le présent vibre et fusionne bien plus rapidement qu’avant. Le temps présent s’accélère, parce que la Terre qui nous accueille à aussi sa propre évolution, sa propre temporalité dans sa progression, et tout comme nous qui allons plus vite (avion, voiture, ordinateur, IA, l‘ordi quantique) la Terre aussi a accéléré sa course.

Alors tout va bien plus vite. De même que les outils qui nous sont offerts, avant étaient dans le présent plusieurs décennies. Ça n’est plus le cas.

C’est aussi pour cela qu’Internet à été offert à l'humain.

Parce que tout va plus vite au delà de nos outils matière, forme, en nous aussi tout va plus vite.

Alors il nous faut transmettre les outils plus vite, pour qu’ils soient offerts dans le présent plus vite, et utilisés plus vite.

Vous comprenez?

D’ou les ebooks par exemples. Ce sont des livres, des outils, qui sortent plus vite. Et c’est parfait.

Une fois intégré dans la chair, la chaine ADN, les profondeurs de la compréhensions, alors on change de stade d’évolution à l’intérieur, et on nous offre un nouvel outil, adapté à cela.

Ect ect.

Mais il ne faut pas, à l’inverse vouloir toujours la nouveauté. Non il faut écouter l’horloge interne, le temps intérieur. On ressent la subtilité du détachement au fur et à mesure qu’on entre profondément en soi, et qu’on reçoit de notre Intelligence Supérieure, les enseignements qui nourrissent pour un temps.

Parfois on perd l’attrait de quelque chose d’extérieur, qu’on a pourtant adoré pendant un long temps. Perdre l’attrait est le réveil qui sonne/l'alarme qui prévient, qui dit qu’il est temps de quitter cet outil, afin de recevoir de nouvelles fleurs. Le printemps dernier est fini, le printemps nouveau arrive, et il faut passer par l’automne qui nous fait quitter les feuilles, l’Hiver qui nous tapisse dans la terre pour parfaire les racines, pour enfin reprendre le souffle à l’extérieur, au soleil, et là, on reçoit les nouvelles fleurs qui vont offrir les fruits.

C’est pareil pour les outils qu’on nous offre dans notre vie humaine.