Tu es l'Or

La lumière du monde passe par ta Lumière

10/17/202411 min read

Ce que j’aime le matin, c’est l’extraordinaire sensation qu’une journée magnifique commence.

En me réveillant, j’ai pris la merveilleuse habitude de prier, et de remercier Dieu pour cette journée qui commence à ses côtés.

J’ai appris à remercier aussi certains gestes que je faisais inconsciemment avant. Depuis plusieurs années, je remercie mes dents quand je les lave, je prends garde que mes pensées ne divaguent pas. Je m’astreins à ne pas tomber dans l’inconscience dans mes gestes du quotidien. Parce que c’est à moi, courant de vie sacré, parce que dans ce corps, Dieu a mis toute sa pureté, sa lumière, sa perfection, sa sagesse, et c’est à moi de remercier et d’être en conscience face à toute cette perfection.

Je ne nourrie pas l’égo, je remercie le Seigneur au travers mes dents, ma digestions, la préparation de mes repas, laver mon linge qui va sentir bon, et j’adore ça.

J’apprends encore, parce que parfois mon personnage prends le bâton pour diriger mon intellect, l’activité mentale. Je lui reprends doucement pour revenir au centre Divin du UN.

Non, à aucun moment, ce personnage n’a le droit de choisir de penser. Il doit toujours être au service, et non l’inverse. Quand cela se produit, c’est à mon Gardien Intérieur, artisan de Dieu, de reprendre le bâton  de pouvoir de la pensée, et de revenir dans l’alignement Divin.

Je remercie ce corps merveilleux d’avoir passer 12h, la nuit à digérer le dernier repas que j’ai pris, et d’avoir trier ce que j’ai ingéré, prendre ce qui est bon, et rejeter ce qui ne lui convient pas. C’est l’intelligence divine en action pure. Mon corps n’a pas besoin de ma soi-disant intelligence pour établir tout le processus de digestion. De même que ce corps parfait créé par le Père n’a pas besoin de moi pour inspirer, prendre tout ce qu’il faut dans l’éther Divin, et rejeter ce qui n’est plus utile en ayant pris au passage tout le nécessaire vitale pour un bon fonctionnement.

Voilà une vérité qui mérite qu’on en ai conscience.

Par ces petits actes de reprendre et d’être toujours, ou le plus souvent possible, en état de grâce, de gratitude, je ramène toujours Dieu au centre de ce que je fais et suis.

Quand il m’arrive de divaguer, souvent au réveil si je ne suis pas attentive, alors, je ramène doucement mon état au centre. Non non non, qu’est ce que je fais, reviens ici.

Dieu est le paysagiste de cette perfection, je suis le jardinier qui prend soin de ce qu’on m’a confié.

Je lis de la sagesse le matin. Je suis attentive à ce que j’offre comme nourriture psychique à mon corps au réveil, parce que cela donne une belle vibration pour la journée. Un esprit neutre se réveil, je ne vais pas lui donner un paquet de bonbon avec du whisky. Non, je lui offre du pain et de l’eau.

Je prie beaucoup aussi au cours de la journée, au travers les remerciement à mon Père, très très souvent. Quand je vois la nature par exemple en automne, je trouve ça merveilleux et magnifique.

J’ai appris à donner de belles choses à mes yeux, et à en avoir conscience. À Remercier Dieu pour cette beauté incroyable, qui reste chaque jour un miracle pour moi. Le vent que je sens sur ma main, le soleil qui se lève et qui m’offre un spectacle merveilleux, le plus beau qui soit. Toutes les couleurs sont Divine, et je remercie Dieu de pouvoir m’offrir chaque jour ce spectacle magnifique, toujours incroyable.

Je remercie l’harmonie que je sens quand je sors sur ma terrasse le matin. C’est un environnement particulier le matin. Le monde est calme. Le dimanche encore plus, le calme présent dans l’éther est magnifique.

Je remercie et prends soin de mes plantes aussi, qui sont magnifiques. Je leur parle. Mon lapin aussi chaque matin je lui dis bonjour, et je le remercie de faire partie de ma vie et lui envoie beaucoup de douceur et d’amour quand je le caresse, en le remerciant d’être si mignon.

Je m’interdis le téléphone, tant que mon corps n’est pas revenu en intégralité de son voyage nocturne. Et pour cela je le fais atterrir en douceur, en conscience, avec la beauté du monde que mon Père à créé et dont il prend soin à chaque instant.

Je remercie les êtres merveilleux tout autour de moi de m’offrir les enseignements, la lumière intellectuelle, parce que réellement, je suis en admiration face à ce qui m’est offert au travers des compréhensions que l’on m’offre quasi quotidiennement.

Ça me fait penser à une analogie qui est actuellement tourner en dérision il me semble.

L’enfant intérieur.... alors nous voyons partout, guérissez chérissez votre enfant intérieur, écoutez le, assouvissez ses moindres désirs, embrassez le, prenez le dans vos bras...

Mmmmhhhmmmm... et on voit des gens dire “oui mais c’est mon enfant intérieur qui est blessé...” ah, OK. Dons à l’intérieur de toi, il y a un enfant, et il se sent blessé donc tu dois prendre un voyage aux Maldives pour te détendre, le détendre c’est ça?

L’enfant intérieur est un analogie en fin de compte, mais elle n’a pas été perçue telle quelle. C’est l’état de pureté dans lequel nous devons être pour atteindre la vibration du Christ en nous. A aucun moment il y a un enfant au dedans de nous qui pleure parce qu’il a peur parce que sa mère ne l’a pas aider à 3 ans traverser, et qu’il a faillit se faire renverser, et à créé une peur ancrée dans les cellules sur plusieurs générations.

Pardon je le tourne un peu en dérision, mais il me semble que la dérision est dans le sens donné aux choses.

Personne n’a un petit enfant en lui qu’il faut écouter et installer dans le canapé avec des popcorn et Gulli. Non.

C’est l’état de pureté qui est le but pour élever notre conscience, nous aligner intérieurement.

C’est le Christ. C’est l’analogie de la pureté du petit enfant qui n’est pas encore abîmé par son environnement, la société, l’éducation physique familiale. Un petit enfant est pur, il voit, entend la vérité, il est très proche du centre Divin, parce qu’il n’est pas encore déformé.

Voilà la réel traduction. Et en tant qu’adulte dans la matière, totalement déformé, nous devons redevenir cet état de pureté, de transparence, tel un Christ’al qui laisse passer parfaitement la Lumière, l’Or du Soleil, de Dieu en nous, afin de redevenir le reflet de la lumière Divine en nous, et de refléter cela dans la matière physique.

La vibration de l’enfant est très proche de la pureté, c’est pour cela que l’analogie à été donné de l’enfant intérieur.

Avec tout mon amour.

Je m’explique, parce que j’expérimente cela en connaissance, et maintenant en théorie, depuis quelque temps.

Je sais que le corps physique est emplie de muscles, tendons, organes, cellules, veines qui fait circuler des liquides, moyens de transports incroyablement beau et parfait soit dit en passant.

Rien qu’au niveau muscles, tendons, nerfs... c’est un formidable système qui fait circuler l’électricité en nous à travers l'intégralité de notre matière physique.

Le courant est un système de navigation d’énergie, l’énergie circule, l’information circule en nous à travers ça. C’est aussi un transformateur. (je prends volontairement des analogies pour traduire) c’est à dire que tout autour de moi existe un courant invisible pour mes yeux humains. Mon corps, mon système musculaire, nerveux, et tous les tendons qui font les ptits ponts entre tout cela, traitent les données reçus. Tout autour de moi, dans l’éther, existe les particules, l’électricité merveilleuse de Dieu. Mon corps doit et peut devenir le transformateur de cette énergie. Elle traduit l’énergie divine qui est très élevé vibratoirement, pour en donner le meilleur à ce que je Suis dans la matière.

Il m’appartient d’entraîner tout ce système musculaire, afin que je puisse de plus en plus traduire cette matière éthérique en moi. Pour m’en nourrir. Nourrir mes organes... mais aussi que ce courant soit amené dans mon système nerveux centrale, et ma conscience.

Je dois faire en sorte que mon système physique puisse être de plus en plus et de mieux en mieux flexible pour apprendre à reprendre l'élasticité naturelle de chaque état. Je ne suis pas très claire, excusez-moi, je ne sais pas encore comment le traduire par les mots.

Par les exercices physiques quotidiens que je fais, je m’astreins à étendre mes muscles/tendons/nerfs, afin qu’ils soient capables de traiter plus  et de plus hautes informations vibratoires.

Je prends un exemple. Je ne peux pas demander à mon corps qui n’a pas fais d’étirement pendant 20 ans de faire le grand écart. Très clairement, je vais ressentir une douleur très très vive. Vous comprenez ?

Alors, chaque jour, je vais m’entraîner, étendre les zones nécessaires, pour faire à un moment plus facilement le grand écart. Et chaque jours, en faisant les petits exercices d’étirement, je décalcifie la matière en moi qui a besoin de se débarrasser de ce qui rend tout cela raide. Je fais craquer la densité, et elle s’évacue. Alors, mes muscles deviennent chaque jour capable de faire plus facilement les exercices.

Voilà l’image. Et en faisant cela, je permets à chaque muscle, nerf, tendon, de pouvoir assimiler plus d’énergie, d'électricité. Chacun devient apte à traiter plus l’information, en conscience, et des énergies plus hautes vibratoirement. Et lorsque je fais cela, l’intégralité de la matière de mon corps reprends petit a petit la capacité de traiter l’information, l’électricité, dans l’éther. Donc ma conscience est davantage nourris. Vous voyez ou je veux en venir?

Je fais de l’électricité verte en quelque sorte. (sourire)

J’arriverai à mieux l’expliquer, ou pas d’ailleurs, mais j’ai encore une complexité à pouvoir traduire cela en mots.

Voilà aussi quel est mon rôle envers moi même. Choisir, le libre arbitre, de ce que je mets en moi, de la manière dont je me nourrie. Et quand je ne ressens pas l’état de grâce que j’aime temps, c’est que je suis dans le désert, mais que je dois redoubler de vigilance, et persévérer avec les petits outils que j’ai à ma disposition pour traverser le plus paisiblement ce désert. En faisant cela, je deviens plus forte, mon transformateur intérieur marche mieux, devient plus pur. Je deviens plus résistante aux mondes des ténèbres qui sont pernicieux. Je ne dois jamais lâcher ce que je veux. Cette volonté profonde d’être dans la lumière Divine. Dieu, le soleil ne s’arrête jamais de briller, jamais. Mais sommes-nous au bon endroit pour le voir? Parfois non, parfois nous ne prenons même pas le temps de sentir ses rayons réchauffer notre peau. Alors je me dois d’être cette gardienne du cœur, cet entraîneur qui chaque jour va motiver ma conscience à garder le bâton de pouvoir plutôt que de laisser le petit moi le prendre et courir n’importe ou n’importe comment.

Il ne faut pas se méprendre, certains jours, ça n’est pas aussi aligné et simple comme je le voudrais. Ces jours là, ou je suis davantage dans un milieu désertique, je persévère, et je suis attentive à nourrir ce que je suis, même si j’ai la désagréable sensation que rien est nourrie en moi.

C’est à ce moment que je dois travailler, être le gardien de mon sanctuaire, de mon centre. Même si j’ai la sensation d’être dans le désert, le noir. Je dois continuer à prendre la lumière dans mon centre, et non dans le monde extérieur qui m’entoure. Parce que ces moments sont importants à mon apprentissages. Par ces moyens, ces déserts, je suis dans mes propres expériences de test. Suis-je assez forte assez pieuse, pour prendre la lumière en ce centre sacré que Dieu a mis en moi? Suis-je assez pour être responsable?

Si ce n’est pas le cas, je ramène ma conscience au centre et au cœur, et je lis 2 fois, 3 fois plus de sagesse. Parce que c’est dans ces moments là que je muscles plus profondément la volonté d’être aligné à la trinité.

Je ne dis pas que c’est drôle. Ça ne l’est pas. Mais être dans ce désert est un très très bon exercice pratique de ma force de volonté d’être toujours au plus proche des Cieux. C’est aussi dans ces moments là que je dois prier plus pour que la parole en moi et qui sort de moi doit soit le reflet de la pureté des Cieux. C’est à moi qu’il appartient d’installer le Royaume de Dieu en moi et tout autour de moi. Je n’ai pas de serviteur en moi qui va préparer mon bain dans lequel je viendrai laver le corps. Ni rien d’autre d’ailleurs, parce que la préparation fait partit de la purification.

Donc je dois être exercé à me diriger dans le noir. De sorte que si à l’extérieur tout est sombre, je saurai ou trouver la lumière. Je saurai qu’à l’intérieur de moi existe la boussole la plus merveilleuse et la plus parfaite.

Je dois être toujours prête à accueillir Dieu à ma porte, et je ne veux pas avoir à me cacher si quelqu’un frappe.

Je dois donc être prête.

Et puis la grâce revient comme par magie le lendemain, ou quelques jours plus tard. Jamais elle m’a fait faux bon si je reste astreinte à prendre soin de ma direction. Par contre, si je me laisse fondre dans l’inaction, la débauche, l’inconscience, elle va mettre beaucoup beaucoup de temps à revenir en moi. La grâce est en moi lorsque je la nourrie. C’est aussi simple que cela.

Et une fois qu’on y a gouter, même quelques secondes, alors on comprend que c’est seulement dans cet état que la vie vaut d'être vécu.

Je suis ici pour vivre et expérimenter la vérité, retrouver la vérité, en autonomie. C’est avec moi-même que je dois vivre chaque moment, et c’est à moi de décider comment. C’est à moi de décider que je veux vivre constamment cet état de grâce. Et cet état est magnifique, mais quand il me quitte, c’est à moi de le nourrir. De cette manière, j’entraîne ce corps merveilleux et parfait à retrouver sa flexibilité naturelle et divine.